Test : Hitman Absolution – L’Antre du Greil
Salut à toutes et à tous. J’ai pour habitude de commencer mes publications par un truc du genre « bienvenue sur *insérer nom du site* pour *insérer nom de la publication* » mais comme je suis de toute évidence le petit nouveau dans l’coin, je me permettrais de me souhaiter la bienvenue. Bienvenue, donc, Pino, dans l’Antre de Greil où tu vas, pendant un bon moment je l’espère, avoir le plaisir de proposer des tests de jeux vidéo, d’hier et d’aujourd’hui, dans le style si caractéristique du site et de son auteur. Le but semble évident : divertir et pourquoi pas instruire, développer le blog en l’ouvrant à une autre culture et SURTOUT, SURTOUT ! Passer en force pour que l’Antre de Greil devienne l’Antre de Greil et Pino. Ou l’Antre des deux Cons. … L’Antre Jambe ?
« Cauz’ I’M BACK IN BLAAAAAACK ! » *BO de la rédaction de cet article disponible sur iTunes prochainement…*
Et ce premier test va avoir comme sujet l’un des derniers bijoux pondu par une fin d’année 2012 riche en émotions : Hitman Absolution. Pour ceux qui débarqueraient un peu, Hitman est une licence créée par Io Interactive et exploitée aujourd’hui par Square-Enix, à qui on doit notamment Final Fantasy, Dragon Quest ou Kingdom Hearts. Hitman c’est 5 jeux vidéo, d’abord sur PC puis sur consoles pour une véritable légende du paysage vidéo ludique. On y incarne 47, un tueur à gages gonflé aux hormones, croisement génétiquement amélioré du Terminator, Rambo, John McClane et M. Propre. Avec pour seul but d’éliminer les cibles désignée par l’Agence, 47 nous donne le choix entre l’infiltration ou le bourrinage en bonne et due forme. Tout ça en costard, gants en cuir noir et cravate rouge, la classe et tout. Bref, la recette parfaite pour scotcher un geek à son écran. Pourtant, à l’annonce de ce Hitman Absolution, 5 ème volet de la série, le fan de la première heure va avoir des sueurs froides. Celui-ci paraît un tout petit trop orienté action et l’ajout de l’instinct, une sorte de 6ème sens de 47, semble casualiser la progression, là où la série est réputée pour demander patience et intelligence (un jeu dur, pour les hardcore gamers, ouais !).
« Comment ? Non, j’me suis juste coupé en me rasant… A la machette… »
Et bien rassurons ces bons vieux fans hold school bien trolls sur les bords, Hitman n’est pas un Call of Duty déguisé en Victor « Le Nettoyeur » ou un portage pur et dur de la bouse infâme que fût l’adaptation cinématographique de la licence. (Greil, j’invoque ton pouvoir de chroniqueur cinéma pour le détruire !) Non, ce Hitman Absolution est bien l’hybride que les studios ont voulu pondre, solide sur l’infiltration comme efficace dans l’action. Si le but était de plaire au joueur du grenier, avide de sournoiserie et discrétion, tout en amenant le public plus orienté bourrinage à relâcher un peu de la gâchette et bien la mission est accomplie. On découvrira ainsi dès les premières minutes un jeu accessible, un interface clair et des actions limpides. Si l’on se ravira des interactions fluides avec les objets traînant dans les niveaux (le Colonel Moutarde dans la salle à manger avec le tisonnier, c’est maintenant possible !), on sera carrément impressionné par l’intégration de 47 et des PNJ dans l’environnement. On pourra chercher, difficile de trouver un bug ou un glitch tant chaque niveau transpire la maîtrise technique. Alors oui, on parle d’un jeu à niveau, sans monde ouvert et oui, le jeu est attendu depuis un moment sur cette génération de consoles. Mais je sais pas vous, je préfère attendre deux trois ans un jeu qui sort sans patch correctif pour le rendre jouable plutôt qu’un nid à bugs annuel terminable au prix de sacrifices sur le gameplay (Assassin’s Creed, FIFA, Call Of, ouais, marrez-vous au fond de la classe, mais j’m’occuperais de vous bientôt !) En résumé, la première impression est bonne : on a entre les mains un jeu accueillant, stable et efficace, tout en gardant l’exigence propre à la série, pour ceux qui oseront les gros niveaux de difficultés. Mais ça c’est avant… Avant que le charisme de 47 ne fasse son effet.
« Attention, Jean-Marise, Attention ! Je lève le doigt, tu l’as vu, tu l’as dans l’cul ! »
Car ce Hitman Absolution, ce n’est pas qu’un exemple de jeu valant son prix et pour lequel on ne regrette pas, au bout de deux heures de jeu, d’avoir vendu son rein (sans parler de l’hypothèque sur un œil histoire de s’assurer le téléchargement des DLC). Tout au long de l’expérience, le joueur est la victime consentante (oui messieurs dames, Greil m’a soufflé cette expression…) des fantasmes psychotiques de scénaristes aux délires chargés de culture série B, le tout à la sauce barbecue made in Texas. On croirait que j’exagère, mais presque pas. Si je vous parle d’un groupe de 7 mercenaires sexy, arborant bas collant et coiffes de none au moment d’essayer de vous coller une balle dans le dos, sans oublier la punchline toute trouvée « Va au diable, fils de pute ! », ça vous rappelle pas un certain Tarantino ou son pote Rodriguez ? Si on vous parle d’un Shérif transformant son bureau en studio sado-maso, vous pensez pas direct à Samuel Lee Jackson, Travolta et Uma Thurman ? Bah voyez mes amis, ça me fait chier de le dire car JV.com a fait le même parallèle avant moi, me forçant à admettre que cette poubelle ai raison, mais le constat est là : le scénario de Hitman Absolution pourrait être écrit par Tarantino lui-même qu’on en serait pas choqué. Entre chaque mission, certaines scènes vous donneront l’impression de regarder un Grindhouse, la manette en bonus. Pourtant, si la violence est omniprésente dans la narration, atteignant parfois son paroxysme sur certaines séquences, elle évite le piège de la sur-enchère, notamment d’un point de vue graphique. Cette ambiance maîtrisée se retrouve en phases de jeu puisque certaines possibilités d’assassinat sont justes jubilatoires. Tuer un baron du crime en empoisonnant sa cocaïne ou assassiner un catcheur de seconde zone en faisant tomber une rampe de projecteur sur lui en plein show, ça… tue. Je ne m’attarderais pas sur la garde-robe disponible, allant du costume de Rey Mysterio à la réplique d’une armure de samouraï, en passant par les uniformes de policiers et agent de sécurité propres aux différents niveaux… Les idées sont nombreuses et offrent leur lot de surprises et de sensations : tantôt tellement subtile qu’on se prend tout de suite pour un PGM de longue halène, tantôt suffisamment brutale pour vous faire demander ce qui vous a poussé à acheter le dernier Black Ops. C’est clair, il y en a pour tout les goûts et c’est tant mieux.
« J’abattrai alors le bras d’une terrible colère, d’une vengeance furieuse et effrayante sur les hordes impies qui pourchassent et réduisent à néant les brebis de Dieu, et tu connaîtras pourquoi mon nom est l’éternel quand sur toi s’abattra la vengeance du tout puissant. » Il y a aussi la hache, mais Jules Winnfield était bien plus cérémonieux que 47…
Vous l’aurez compris, Hitman Absolution est un titre d’ambiance et de personnalité. Vous l’aurez aussi compris, j’y ai autant accroché que Greil dans un service gériatrique, mais je comprendrais qu’on vienne me dire que le jeu n’a pas plu. Le style infiltration reste quand même une discipline un peu à part dans le jeu vidéo, difficilement adaptable au casual gaming (comprenez par là qu’on ne se posera pas devant la play pendant 20 minutes après le boulot en espérant finir un niveau au rang maximum, sans se faire repérer et avec une élimination à faire triquer son geek). De plus, si le jeu dans les phases jouable est graphiquement soigné, il ne casse pas trois pattes à un canard et ne vous fera pas sauter au plafond pour autant (principalement si l’on sort l’éternelle comparaison avec les gros titres sur PC de compétition). Même si j’imagine avec plaisir l’essoufflement du processeur à 2000 boules de nos chers trolls PCistes au moment de gérer la foule de Chinatown pendant la fête du nouvel an (COMMENT ?! CA RAME ?! J’ENTENDS RIEN, C’EST LA COHUE ICI !), on doit pointer du doigt des cinématiques franchement moches. On sent la volonté de donner un style avec des effets de lumière et autres filtres, mais aussi celle de détourner le regard d’une modélisation parfois tout juste au-dessus des cinématiques d’un Final Fantasy 7 (notamment la bagnole de 47 qui est juste bâclée, la voir rouler est un supplice pour peu qu’on ai tâté du Need For Speed Most Wanted un peu plus tôt) . Encore une fois et si je chipote un peu quand même (j’ai été dur, vous pourrez pas dire que j’ai dit que du bien du jeu… Mais j’ai été mauvais, j’ai trollé. Mais c’pas faux non plus ce que je dit. Bon fouettez-moi, j’accepte ma pénitence !), je m’étonne de l’écart significatif entre la qualité des animations in-game et en cinématique. Pour revenir sur la foule par exemple, vous pouvez oublier Assassin’s Creed, GTA et compagnie : Hitman est le nouveau modèle de gestion du PNJ.
Voilà un jeu qui aurait évité beaucoup d’ennuis à Eric Cartman. Ou pas… Nous rappelons que la consommation de produits stupéfiants est dangereuse pour la santé, au même titre que l’utilisation d’un bong comme arme blanche. Paradoxalement, ces deux activités pourraient vous procurer les même sensations d’extase.
Quoiqu’il en soit, les graphismes ne font pas un jeu (du moins, je suis des joueurs qui y croient encore, malgré les chiffres de vente actuels…) et certains manquement graphiques du titre seront admirablement rattrapés par une bande son du tonnerre de dieu, s’adaptant parfaitement aux situations : stressante à mort au moment où le timing et la dextérité seront les facteurs de votre réussite à l’assassinat, explosives dans les phases de shooting effrénées, bucoliques quand vous traversez une ville minière du fin fond des Etats-Unis. Du grand art, tout simplement. Et là encore, le PNJ n’est pas en reste puisque le jeu regorge d’indice audio aussi importants que les indices visuels. Les gardes discutent, parfois de choses importantes, parfois de choses complètement décalées, les cibles interagissent avec leur environnement et les passants sont d’un réalisme rare (coups de téléphone, discussions, réactions aux actions de 47…).
Bienvenue à Chinatown. Après avoir empoisonné divers plats et vous être déguisé en dealer, n’oubliez pas de faire péter une petite bombe histoire de voir la foule s’éparpiller en hurlant de terreur pendant que vous marchez calmement au milieu des victimes innocentes de votre folie destructrice, dégainant vos armes avec sérénité avant d’affronter le SWAT. La jubilation est difficilement descriptible.
Mais bien-sûr, pourrais-je parler de la foule et de vos ennemis sans parler de l’IA. Sans être un expert du débuggage d’IA, je dois reconnaître que celle d’Hitman Absolution pose encore un bel étron sur les plates bandes d’Assassin’s Creed (on ne peut pas s’empêcher de faire le parallèle…). Si on regrettera parfois un tout petit peu trop de répétitions, on admettra quand même que le titre donne une sérieuse claque à la concurrence en terme de gestion des scripts. C’est bien simple, là où Call of Duty utilise l’action scriptée comme un puceau parle sexualité, Hitman Absolution sera le Barney Stinson qui lâche son script au bon moment et on sait direct qu’il parle en connaissance de cause. Les mécanismes sont donc dans l’ensemble très fluides et évitent la facilité : trop de limpidité et de prévisibilité aurait ruiné la difficulté. On passera facilement une demi-heure caché dans un niveau à épier les mouvements de chacun des gardes pour trouver LA fenêtre d’infiltration (vous allez croire que je réserve mes parenthèses à Greil mais PUTAIN que cette phrase avec les mot « caché » et « épier » dedans me donne une perche pour le bâcher…). Ça paraît chiant, mais quand vous réussissez… J’en profite d’ailleurs pour placer un mot sur « l’Instinct », le sixième sens de 47. A l’image du jeu, la fonctionnalité laisse la par belle au joueur. Elle vous servira soit à deviner la trajectoire des gardes pour les contourner, soit à les marquer pour une élimination rapide et efficace au flingue, façon Red Dead Redemption. Tout dépend de ce que vous en faites. Simple mais efficace. Tout Hitman Absolution en une seule phrase.
« Chérie, soit discrète mais je crois que David Carradine a décidé de manger à notre table… »
« Bien-sûr ! Et moi je suis Sharon Stone en brunette ! »
« Artouuur ! Cuilleeeeeeeer… »
Je peux donc vous le confier après avoir pas mal écumé ce titre : on se prend au jeu à tout allure et il est difficile d’en sortir. La faute à un gameplay aux petits oignons, qui vous fera penser plus qu’exécuter vos actions ainsi qu’un scénario et un environnement poussant à l’immersion. Le plus intéressant sera de constater que la progression du joueur en sera touchée : si, par forfanterie personnelle, je m’étais donner le défi de me plier aux règles de l’infiltration et tenter de faire le moins de vagues possibles, le déroulement des évènements et les personnages présentés fasse à moi, dans certaines situations, m’auront poussé à me dire « Attends, pourquoi je me ferais chier à les tuer avec délicatesse alors que je peux les envoyer en enfer à coup de pied dans les valseuses ? ». Le niveau (et attention petit spoiler) dans l’hôtel, où les Saintes attaqueront au lance-roquette et chercheront à confirmer la mort de 47 en est un exemple typique. On prend plus de plaisir à récupérer sa tenue puis à éliminer nos cibles une à une en combat direct, en profitant du système de couverture pour rendre le combat réaliste, qu’à essayer de contourner bizarrement et éliminer silencieusement. Franchement, vous êtes une machine de guerre, on vous attaque au bazooka à la sortie de la douche et une horde de méchants soldats prend d’assaut votre hôtel. Vous faites quoi vous ? Bon. Bah voilà. Pareil.
« C’est bien ici, l’ENTERREMENT de vie de garçon ? »
Allez, on va essayer de conclure (oui, parce que je pourrais en parler pendant des heures…). Je ne saurais que trop recommander ce jeu. Que vous soyez un gros fan depuis le premier Hitman ou un joueur simplement intéressé par une licence de légende mais un peu en retrait sur support next-gen (comme moi quand j’ai ouvert la boîte), cet Absolution a tout les atouts pour plaire et réussit son défi majeur : faciliter l’accès à l’action, la mettre en valeur, sans trop faciliter la tâche au joueur (que celui-ci ne délaisse pas le défi de l’infiltration). Pour découvrir ou redécouvrir une série et un genre particuliers, le titre s’impose comme un poids lourd dans une collection. Surtout, grâce à un multijoueur bien tourné, il offre une rejouabilité très intéressante. Je veux dire, quand vous aurez torché chaque niveau dans chaque mode de difficulté, en cherchant chaque objet, chaque déguisement et en accomplissant toutes les façons de tuer mises à votre disposition, vous pourrez encore vous faire la main sur les contrats créés par les autres joueurs en ligne. L’avantage ? Un leaderboard et pis c’est tout. Pas de joueurs jouant en même temps que vous dans le niveau et cassant l’esprit du jeu en gros trollage de noob (oui, marre toi, Assassin’s Creed 3, mais tu vas y passer, tu le sais !) Juste des feuilles de score et le choix donné au joueur : passer une nuit à essayer d’établir le meilleur score sur le contrat ou une bonne heure à explorer les délires de vos copains de jeu, créateurs parfois un peu trop psychopathes pour rester en liberté. Alors oui, on pourra trouver des défauts au jeu, mais ce sont des détails que les chipoteurs iront chercher très loin : la fermeture des portes, 47 qui ne met pas de cagoule alors que certains déguisements en comportent ou l’impossibilité de rejouer les missions en choisissant son armada. Oui, certes… Mais ce sont franchement des détails qui ne sauraient gâcher votre plaisir, promis juré !
Si vous avez aimé cet article ou si vous voulez l’avez détesté au point de vouloir le démonter en bonne et due forme, n’hésitez pas à commenter, donner votre avis (sur le jeu comme sur l’article hein !) et à le partager (Facebook, Twitter… D’ailleurs moi c’est @Pino_CaQ pour les intimes !). Je vous rappelle bien entendu que je ne prétend pas détenir la vérité divine et n’ai pour seule ambition que de proposer un avis personnel, sujet à des manques chroniques d’objectivité, on est tous humains… Même si l’emploi à foison des « on » et des « nous » pour donner des avis qui semblent intelligents, comme ça, donne un air très pro au délire, cet article est un travail amateur, fait par un amateur (au sens noble du terme), pour les amateurs (là, par contre, pour le sens…) Merci à toi, cher public ! Voilà, c’est tout.
Ah non. Les images accompagnant l’article sont tirées pour la plupart du site JeuxVidéo.com, qui s’il reste à mes yeux la poubelle du diable a le mérite de proposer de meilleures captures d’écran qu’une bête photo prise sur télé. Je les remercie donc de leur aide et en profite pour rappeler que ni ce site, ni l’auteur de cet article (meuwaaa) ne sont affiliés d’aucune manière à aucun autre site. Voilà, c’est tout.
Ah si. Je rappelle aussi que ni ce site ni l’auteur (re-meuwaaa) de cet article ne sont affiliés à l’éditeur du jeu vidéo ou tout autre entité tirant profit de sa commercialisation et ne reçoit donc aucun bénéfice de l’augmentation significative des ventes que cet article va susciter. Nous ne sommes en aucun cas rémunérés par quiconque et c’est bien dommage ! A vot’ bon coeur m’sieurs dames… Et pour info, oui, les jeux et les consoles sont payés… En nature… Et d’occasion… Dans un monde de geek, imaginez le sacrifice… Je remercie en tout cas l’éditeur d’avoir pondu un jeu aussi kiffant. (Attention, tout les éditeurs ne seront pas systématiquement remerciés pour leur oeuvre. Faut pas pousser non plus, y en a qui vont prendre !) Voilà. C’est tout.
Ah si. Je remercie Greil pour son accueil sur son blog. Je remercie Maman. Mes Bestahs et Sistahs. Et Schopenhauer, mon chien. Xoxo à tous.
PS : Si vous avez des idées sympa pour le nom de la catégorie dans laquelle ces articles figurent, n’hésitez pas à les partager. Tout troll infâme est exceptionnellement autorisé mais pourra être réprimandé avec la sévérité qui s’impose.
UMP : C’est la merde, mais cela ne nous regarde pas. La blague est nase, mais j’avais pas assez de truc à dire pour aller jusqu’au « PS4 : sortie prochainement ».
Bon maintenant j’arrête. « PUTAIN C’PAS TROP TÔT J’AI CRU QU’IL S’ARRÊTERAIT JAMAIS CE CON ! » Oui je sais, ça remonte depuis ma plus tendre enfance, j’étais alors une sympathique tête blonde et… « TA GUUUEEEEEEEUUUUULE ! »
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