Top
Image Alt

Découvrez Tout Sur Le Cinéma Sur Notre Site

Steel Panther

Steel Panther – L’Antre du Greil

Ah la Saint Valentin… Son ambiance romantique, ses petits cœurs, ses dîners aux chandelles… Vous aimez bien ça? Et bien je suis ici pour vous rappeler que c’est une fête purement commerciale, dont le seul avantage est d’obtenir à la fin une putain de nuit de cul !!! Mais faut pas le dire, parce que ça fait mauvais genre. Ce qui fait aussi mauvais genre, c’est ce dont je vais vous parler maintenant, le genre de musique qu’il ne vaut mieux pas sortir le 14 février au soir, sous peine de finir avec l’assiette de fruits de mer dans la figure, un coup de pied dans les burnes et sur le canapé pour la nuit. Par contre, si votre copine se met à rigoler en écoutant, dites vous que vous avez énormément de chance et qu’il faut tout faire pour la garder ! Bref, je vais parler de Steel Panther. Bouchez les oreilles de votre petite sœur, ça va dépoter.

Steel Panther

Toutes les filles du monde rêvent de ce genre cadeau à la Saint Valentin… Comment ça non? Comme dit si bien Greil, si elle résiste, donnez-lui du GHB !

Steel Panther étant un groupe récent, je vais passer sur toute la discographie, soit les 2 albums studio, Feel The Steel et Balls Out, et leur live British Invasion (ils ont également sorti un album sous le nom Metal Shop). Autant vous le dire tout de suite, ils ne font pas dans la dentelle les Californiens. De base, c’est un groupe de reprises de glam, comme on en trouve des dizaines sur le Sunset Strip de L.A., tournant notamment dans plusieurs salles mythiques comme le Whisky a Go Go ou le Roxy Theatre. Ils sont bien sûr inspirés par les groupes de hard rock/glam metal de la fin des années 80, tels Mötley Crüe, Guns N’ Roses, Def Leppard, Cindirella, Poison, Ratt, Faster Pussycat ou Hanoi Rock (point histoire : le glam metal, c’est pas le glam rock hein? Le glam rock étant Bowie, Elton John, T. Rex, Queen ou Sweet, alors c’est pas vraiment pareil…). Ils les ont même côtoyé, d’où leur âge !

Petite différence par rapport aux autres groupes de reprises de glam, déjà Steel Panther s’est auto-proclamé meilleur groupe de reprise du monde (hommage appuyé à Kiss, auto-proclamé meilleur groupe du monde (rien que ça !) et à Manowar dont la devise est « Les autres groupes jouent. Manowar tue »), et surtout, ils poussent à l’extrême tout les codes du genre, comme les vêtements ultra-bariolés, les paroles portées sur le sexe (euphémisme !), et surtout la musique, qui je trouve est excellente. Le groupe est formé de Michael Starr au chant, Satchel à la guitare, Lexxi Foxxx à la basse et Stix Zadinia à la batterie. Les noms sont évidemment parodiques, je pense que vous aurez reconnu la référence à Slash pour le nom du guitariste. Vous vous doutez bien que ce groupe tombe beaucoup dans la parodie, donc pas la peine de dire « oh mais c’est dégueulasse » en prenant un air choqué et en faisant une croix avec les doigts en criant « antéchrist, antéchrist !!! ».

Steel-Panther-Feel-the-Steel

Voilà ce qu’il arrive quand tout l’argent passe dans les putes…

Leur premier album (en tant que Steel Panther), Feel The Steel, sort en 2009. Il fait surtout son effet aux Etats-Unis, notamment parce que cela fait des années que Steel Panther tourne (et fait des tournantes d’ailleurs), et grâce à des guests plutôt sympa, genre des mecs pas du tout connus, comme Corey Taylor de Slipknot, Justin Hawkins de The Darkness, M. Shadows de Avenged Sevenfold et également Scott Ian de Anthrax. Du beau monde. Le groupe ne décollera pas tout de suite (alors qu’il fait décoller plein de meufs, un comble !) en Europe. Bon, arrêtons les sous-entendus vaseux, et parlons de l’album en lui-même. Et je m’engage à ne pas sortir des « comme ta mère » ou « comme ta sœur » à toutes les lignes. Je sais, ce sera dur.

Premier contact avec l’album : la pochette. Perso je la trouve assez kitsch (comme tout porno hongrois qui se respecte), on dirai vraiment qu’elle a été faite sur Photoshop. Dessus on voit les membres du groupe (les musiciens hein, pas les « membres »), qui prennent la pose, avec des flammes. Cette pochette n’est pas une franche réussite. Mais au contraire d’une prostituée brésilienne (ou brésilien, on ne sait pas) au bois de Boulogne, ne nous arrêtons pas à l’apparence, et regardons au fond des choses.

L’album commence avec une chanson extrêmement ouverte d’esprit (comme ta… Non non non, ne cède pas), Death To All But Metal. Cette chanson est une ode à la diversité musicale, à l’amour… Mais nan je déconne !!!!!!!! Pour faire court (comme Greil), ça parle de choses condamnées par l’Église catholique. Je ne rentrerai pas plus dans les détails, sous peine de voir Christine Boutin débarquer chez moi (ce qui, vous en conviendrez, ne serait pas du tout agréable). Il y a un clip de cette chanson, que je vous encourage à allez voir. Notamment pour ceux qui ont un jour bavé devant une prof extrêmement… attirante (vous voyez comme je fais des efforts pour rester correct et ne pas dire de gros mots). Et là où Steel Panther est très fort, c’est qu’ils arrivent à être encore plus salaces, encore plus tendancieux dans la suite de l’album. Tout dans la finesse (comme Greil).

Je ne vous ferai pas l’affront de vous traduire certains titres, ils sont souvent éloquents chez Steel Panther. On enchaîne donc avec Asian Hooker (quelle magnifique ligne de texte juste avant le refrain !), puis Community Property, qui parle d’un musicien qui est extrêmement amoureux de sa copine, mais qui ne peut pas s’empêcher de la tromper quand il est en tournée, car comme il dit si poétiquement : « but my cock is community property ». Eyes Of A Panther parle d’une fille aux yeux de panthère, avec tout ce qui va avec, notamment les prouesses au lit ; Fat Girl (Thar She Blows) parle d’elle même, on tombe d’ailleurs à la limite du très mauvais goût, avec les imitations d’animaux à la fin. Eatin’ Ain’t Cheatin’, c’est une phrase que certaines filles ont déjà dû entendre : « mais chérie, sucer, c’est pas tromper ! ». Mais bien sûr… Le genre de mec qui dit ça finit souvent dans Secret Story ou les Ch’tis à Ibiza, puis passe chez Morandini, avant de se suicider, parce que, tu comprends, « je sais pas ce que j’ai fais de mal dans ma vie, mais tout le monde me déteste ». Puis Party All Day (Fuck All Night), dont le riff à la talk box est pas mal pompé sur Livin’ On A Prayer de Bon Jovi, mais le refrain est génial, surtout en live. Turn Out The Lights, l’histoire d’un mec qui veut que la fille éteigne la lumière avant de le sucer, parce qu’elle est trop moche. La subtilité et l’ouverture d’esprit je vous disais ! Stripper Girl parle de la deuxième occupation favorite de Barney Stinson (la première étant de se taper des meufs bien sûr), The Shocker parle du symbole de Steel Panther, à savoir le signe de la main, dérivé des « cornes du diable », avec le majeur en plus. Mais qu’est-ce que ça peut bien signifier? Selon le groupe, c’est « two in the pink and one in the stink ». Pour rappel, to stink veut dire puer… A vous de deviner !

On va parler un peu plus en détail de Girl From Oklahoma, dernière chanson de l’album, parce qu’on atteint des sommets de mauvais goût, mais c’est tellement marrant… Ça parle d’une fille, venant de Oklahoma City. C’est difficile de décrire la manière dont Steel Panther en parle, mais s’il fallait retenir quelques phrases : « all around the world, there’s a hundred billions stupids girls, just like you » ou encore « you’ll be screaming my name, when you sit down to pee ». On a aussi de jolis bruitages sur cette chanson, à base de « slurp », de « oh, you’re good girl », et autres chinoiseries (Asian Hookeeeeeer). Mention spéciale à la phrase « Oh Michael Starr, you’re motherfucker ! », chantée comme si c’était la fille qui chantait ça, et qui est un grand moment en live. D’ailleurs, ça aurait été marrant un clip avec cette chanson. Encore plus interdit au moins de 18 ans que la version non censuré du clip de Pussy de Rammstein…

En bonus, on trouve la chanson Hell’s On Fire, chanson fort symphatique, avec un refrain très metal, qu’on a envie de chanter à gorge déployée.

Au final, un album très diversifié, qui s’écoute d’un bout à l’autre sans problème, on retient facilement les chansons et les refrains, les riffs sont très bons, bref une vraie bonne surprise. Et la vraie bonne nouvelle, c’est que son successeur, Balls Out, est tout aussi bon, confirmant un groupe en pleine croissance.

1320564717_steel-panther-balls-out-2011Coucou, tu veux voir ma…

Balls Out sort donc 2 ans après, en 2011. C’est vraiment l’album de la révélation mondiale, Steel Panther conquière l’Europe. La tournée qui suit en 2012 sera triomphale, autant en première partie de la tournée Mötley Crüe/Def Leppard, qu’en tête d’affiche ou pendant les différents festivals d’été. Mais commençons par les préliminaires.

Déjà la pochette est bien meilleure que pour Feel The Steel. Bon, là c’est le moment où je vous laisse 5 minutes avec la pochette et du sopalin. C’est bon on peut reprendre? Bien. Donc la pochette, avec une fille physiquement très intelligente, est très représentative du style du groupe, avec ces énormes testicules en métal (ce qui me fait penser au coffret Family Jewels d’AC/DC) et le signe de la main, le fameux Shocker donc. Indice si vous ne voyez toujours pas ce que cela veut dire : n’utilisez pas cela ce soir (pour vous qui lisez cette chronique avec du retard, aujourd’hui c’est la Saint Valentin. Bisous du passé) si vous n’en avez pas discuté au préalable avec votre copine…

Petit résumé de l’intro : nous sommes en l’an 6969. Toute la Gaule est occupée par… Nan nan je me trompe de texte là. Lieu : la nébuleuse Lesbodyke. Tous les ennemis de cette nébuleuse, les hommes, ont été éliminés. Pour se reproduire, les autochtones (ceci est le mot le plus savant que vous verrez jamais sur ce blog) ont inventé une machine de substitution. Sauf qu’un prototype s’échappe, et se rapproche dangereusement de la Terre, avec pour seul objectif de trouver… Mais je vous laisse écouter, c’est le dernier mot du texte et il est facilement reconnaissable.

L’enchaînement avec Supersonic Sex Machine se fait tout naturellement. On est en terrain connu, c’est du Steel Panther tout craché, et bien speed en plus. Just Like Tiger Woods parle des derniers déboires du golfeur, et donne des conseils pour pouvoir l’imiter ; 17 Girls In A Row (« 17 filles à la suite » si on utilise notre langue) décrit les prouesses de Michael Starr (j’espère pour lui que c’est vrai !). If You Really, Really Love Me est une ballade faussement innocente, qui a donné lieu à un clip assez délirant ; It Won’t Suck Itself propose comme guests Chad Kruger, le chanteur de Nickelback (je pense que les membres de Steel Panther étaient surtout intéressés par sa meuf, l’actrice Kristen Bell) et Nuno Bettencourt, bassiste de Extreme, pour une chanson avec un rythme assez soutenu, presque punk ; Tomorrow Night parle de fêtes (le genre de fêtes étudiantes à l’américaine où vous et moi avons toujours rêvé d’aller. Si si, faites pas vos innocents), et de minous. D’ailleurs je comprend pas ce que des chats viennent faire dans cette histoire ; Why Can’t You Trust Me parle un peu de la même chose que Eatin’ Ain’t Cheatin’, cette fois ci sous la forme d’une power ballade très sympathique. Le parallèle est d’ailleurs à souligner, puisque d’habitude ce genre est réservé aux diverses déclarations d’amour des chanteurs. Sauf qu’avec Steel Panther, on est loin du compte, le groupe déclarant plutôt son amour du sexe et des seins. That’s What Girls Are For décrit leur vision très personnelle de la place des filles dans la société ; Gold-Digging Whore possède de très gros atouts en live, avec son intermède où le titre est épelé ; I Like Drugs parle (pour une fois) d’autre chose que le sexe, à savoir… la drogue (pour savoir si vous aviez bien deviné de quoi la chanson parle, envoyez votre numéro de carte bleue au 63737). Le final est vraiment délirant, même s’il faut pouvoir comprendre un minimum l’américain. Critter est plus discrète, probablement le titre le plus faible de l’album, mais ça se laisse écouter. Let Me Cum In nous redonne un bon coup de fouet, avec une ligne de texte parmi mes préférées de Steel Panther, à savoir « I know you want me, you know I want you, ’cause you like musicians, and I like people with boobs ». Perso j’ai relevé parce que je fais de la musique dans un groupe, donc ça me fait tripper. Et enfin pour conclure, la ballade Weenie Ride, qui voit Stix s’installer au piano, pour une chanson qui promet de beaux moments live. En bonus pour la version japonaise, on trouvera Do You Wanna Do Me, très glam dans l’âme, et Handicapped Slut, le genre de chanson où on se dit que personne n’aurait jamais osé. Et bien Steel Panther ose, et c’est tant mieux !

La conclusion sur Balls Out, c’est que c’est un très bon album à mon sens, qui n’a pas de faiblesse, et qui se laisse écouter tout seul. Le groupe s’approprie parfaitement un genre dont on pouvait se dire que le tour avait été fait, en y ajoutant sa patte personnelle parfaitement identifiable. Mais là où le projet Steel Panther va prendre tout son sens, c’est en live.

20121030-steelPanther11

La photo la plus sobre tirée des concerts de Steel Panther

C’est pas pour me la péter (un peu quand même), mais étant donné que j’ai vu Steel Panther en concert 3 fois l’année dernière, je vais pouvoir vous parler de l’aspect live du groupe. Je les ai donc vu lors de leurs 2 passages au Bataclan à Paris, en février et en octobre, et au Hellfest en juin.

Autant parler du Hellfest tout de suite, c’est sur quoi il y a le moins de chose à dire. Déjà j’ai loupé le début du show, à cause d’un changement de programmation de dernière minute. Mais la demi-heure / trois quart d’heure du set que j’ai vu était franchement cool, le groupe ne se prenant pas la tête,jouant tranquille, et on voyait clairement qu’ils étaient à l’aise. Michael Starr avait ses lunettes sur le nez, les vannes fusaient, le public était bien réactif. Mais surtout, pour chacun des passages en France, Steel Panther avait une phrase fétiche, en français s’il vous plaît. Au Hellfest, c’était « montrez-moi vos nichons !!! ». Déception pour ma part car le public n’a pas vraiment suivi sur ce délire, en tout 2 ou 3 paires qui ont été dévoilés. Par contre, cette phrase était reprise sur l’ensemble de la zone, le camping, etc. Pendant le reste du fest, on pouvait entendre les « montrez-moi vos nichons » un peu partout, ce qui contribuait à la bonne ambiance générale. Cela s’est même propagé après, grâce aux live-reports du concert. La preuve que le show de Steel Panther a été un des plus marquants du fest entier !

LIV_090916SteelPanther_136_s

On a dit les nichons Michael, les nichons…

Pour les deux concerts du Bataclan, c’est une autre paire de… manches (mais à quoi avez-vous bien pu penser !). On voit que le groupe trouve toute sa dimension dans des salles de cette taille là, où c’est plus intimiste, mais où il peut y communiquer toute sa bonne humeur. Déjà la setlist était bien plus étoffée, n’étant pas limitée par la durée de passage d’un festival. Il y a eu une sélection des meilleurs titres des 2 albums, ce qui n’est pas difficile, étant donné qu’il sont naturellement taillé pour le live. : Death To All But Metal, Just Like Tiger Woods, Asian Hooker, Supersonic Sex Machine… Le groupe parlait également beaucoup plus, se « taquinant » entre eux, et « taquinant » le public (si taquiner veut dire parler des mamans des gens, alors oui, ils se taquinaient). On pouvait admirer Lexxi se remaquiller en permanence, d’ailleurs c’est incroyable à quel point il est à fond dans son personnage ! Satchel nous a offert un solo de toute beauté, reprennant notamment de grands riffs de l’histoire du rock : Master Of Puppets, Paranoid, Crazy Train, The Trooper, Breaking The Law… Dommage que les soli aient ét�� trop similaires pour les 2 concerts. Mais heureusement, les setlists étaient elles assez différentes pour ne pas s’ennuyer au deuxième concert. Tous les titres dont on était déçu de ne pas les avoir entendu au premier, on les entendait la seconde fois (je pense notamment à Girl From Oklahoma). Très bon point ! Et bien sûr la phrase avait changé, au premier c’était « j’ai la trique » et au deuxième « j’aime la chatte ». Le public était pour le coup très très réactif, on a pu admirer de nombreuses paires de seins. Et clou du spectacle, le groupe faisait monter de nombreuses jeunes filles sur scène, qui étaient plus ou moins dénudées. Probablement une des meilleures expériences live qu’on puisse avoir. Et pour revenir à des choses plus musicales, le groupe était parfaitement en place, l’interprétation frôlait la perfection, même pour les passages les plus délicats. Pour le concert d’octobre, on entendait assez distinctement le changement de tonalité, probablement dû à la fatigue vocale de Michael, le groupe étant en tournée depuis plus d’un an, mais pas de quoi gâcher le plaisir. Je vous invite à aller voir les vidéos sur Internet, ça vaut le coup d’œil.

british ivasion

Pour une fois, il pleuvera autre chose que de l’eau en Angleterre…

Pour fêter ces joyeuses communions que sont leurs concerts, le groupe a décidé de sortir un DVD, sobrement intitulé British Invasion. La pochette est en revanche… Mais ça suffit avec le sopalin là! C’est votre copine qui va être déçue ce soir… Donc je disais : la pochette est en revanche beaucoup moins sobre, et résume bien l’état d’esprit de la tournée. Bon, j’ai pas eu l’occasion de zieuter le machin, mais si c’est dans la même grosse veine bleue que les concerts auxquels j’ai assisté, dites-vous que vous en aurez pour votre argent si vous achetez ce DVD. En espérant qu’il n’a pas été censuré, ce serait vraiment, vraiment dommage.

Steel-Panther-performing-at-The-Royal-Oak-Music-Theatre-December-22nd-2012-photo-by-Marc-Nader-1189

I’m a Barbie girl, in a Barbie world…

Que dire en conclusion? Déjà que par deux fois je vous ai évité un cancer de la prostate. Bon par contre lavez vous les mains, ça colle au clavier sinon. Et ensuite, on va compter le nombre de sous-entendus sexuels (non relevés bien sûr) que j’ai glissé tout au long de cette chronique. J’en compte 12. Si vous en trouvez moins, cherchez bien. Si vous trouvez le bon nombre, bravo, vous avez ma reconnaissance éternelle. Si vous trouvez plus, c’est que vous avez l’esprit encore plus mal placé que moi, et j’hésite entre vous dire d’aller vous faire soigner et vous féliciter. Par contre, ce que je vous conseille de faire maintenant, c’est d’aller écouter Steel Panther, d’aller à leurs concerts, vous ne pourrez que mieux vous en porter. Les groupes qui nous font rire sont assez rares, donc profitez-en !

Vous avez aimé ? Pourquoi ne pas partager ?