Top
Image Alt

Découvrez Tout Sur Le Cinéma Sur Notre Site

Top Of The Pops

Les 10 plus grands groupes de hard rock – L’Antre du Greil

Vous n’êtes pas sans savoir que j’aime le rock (merci Captain Obvious !!!), mes deux groupes préférés étant AC/DC et Metallica, et les trois genres de musique que j’écoute le plus sont le hard rock, le heavy et le thrash metal. J’écoute bien d’autres genres, mais ce sont ces trois là qui me caractérisent. Je me suis donc dis que j’allais faire mon premier top sur les plus grands groupes de hard rock. Allez, c’est parti pour un tour de manège du rock dur (c’est marrant, mon tonton m’a dit la même chose en m’emmenant dans sa cave hier… Il m’aime beaucoup mon tonton) !!!

Top of the Pops

Oh ça va je suis pas graphiste…

AC/DC (1975 – aujourd’hui)

C’est probablement LE groupe auquel on pense quand on dit hard rock. Il apparaît un peu plus tard que tous les autres grands du hard (non, on ne parle pas de porno), et propose un retour aux sources, quand tous les autres se sont plus ou moins écartés du hard pur (Deep Purple a des grosses tendances funky, Led Zep et son Physical Graffiti très expérimental, Rush qui rentre dans sa période progressive). Et là où AC/DC frappe fort, c’est pour son sens du rythme, son rock basique mais efficace, et surtout sa puissance. L’ascension est fulgurante. Le premier album se vendra 200000 exemplaires en Australie (qui comptait à l’époque 6 millions d’habitants). Let There Be Rock permettra de percer en Europe, où ils trouveront leur bassiste Cliff Williams, toujours au poste à ce jour. Et enfin Highway To Hell et Back In Black permettront de percer dans le reste du monde, notamment au États-Unis. Back In Black reste encore l’album de rock le plus vendu au monde, avec plus de 50 millions d’exemplaires. Les années 80, qui sont peu favorables aux groupes de hard rock en général, verront AC/DC enchaîner quelques albums moins bons et le volume des ventes diminuer sensiblement. Ils renouerons avec le succès en 1990 avec l’album The Razor’s Edge, dont la tournée fixera de nombreuses caractéristiques scéniques que l’on retrouve encore aujourd’hui. Actuellement, AC/DC semble avoir trouvé la formule parfaite : laisser plus de temps entre les albums, afin de peaufiner toujours au mieux les compositions, pour contrer la féroce concurrence des nouveaux groupes du revival 70’s, tels Airbourne, Wolfmother ou The Answer. Mais espérons que le successeur de Black Ice ne se fasse pas trop attendre. Après tout, le groupe fête les 40 ans de sa formation cette année…

acdc_live1

Image à l’image (hahaha) du groupe : sobre, mais tellement puissant et efficace !

Aerosmith (1973 – aujourd’hui)

Aerosmith fait partie de la deuxième génération du hard rock à l’américaine, aux côtés de groupes comme Kiss ou du guitariste Ted Nugent. Laissant à la première génération (Cream, Vanilla Fudge, Iron Butterfly) les relents plus ou moins gros de rock psychédélique, Aerosmith se positionne dès son premier album, l’éponyme Aerosmith, comme un digne héritier du blues. Problème : l’album passe inaperçu à l’époque. Le groupe continue de tourner dans tout l’est américain, durci son son en passant à du vrai hard rock (certes très teinté de blues), et percera enfin avec l’album Toys In The Attic en 1975, dont les tubes Walk This Way et Sweet Emotion passent encore sur les radios américaines de nos jours. Cet album reste le mieux vendu du groupe aux États-Unis, avec plus de 8 millions d’exemplaires. Cela permet également de faire redécouvrir la première galette des Bostoniens, et notamment la célèbre ballade Dream On, première power-ballade de l’histoire du rock. Puis le groupe enfonce le clou avec Rocks (1976), influence majeure de certains musiciens tels que James Hetfield (Metallica) et Axl Rose (Guns N’ Roses). Puis le groupe tombera rapidement de son piédestal, grignoté par la concurrence venue du reste du monde (Judas Priest, AC/DC) et par son duo de frontmen, la paire Steven Tyler/Joe Perry, également appelés Toxic Twins à cause de leurs nombreuses prises de substances pas très licites. 1979 verra Joe Perry partir, suivi par Brad Whitford en 1981. Après un album souvent considéré comme l’un des pires de leur carrière, Rock In A Hard Place (1982), Aerosmith vivotera tant bien que mal jusqu’en 1984, année du retour des 2 guitaristes. Un album suit rapidement en 1985, le mésestimé Done With Mirrors, qui passe inaperçu. Le retour sous les feux de la rampe se fait en 1986, avec la désormais célèbre collaboration avec Run DMC et la reprise de Walk This Way. Les albums suivant, qui verront l’apparition de la période plus hard FM du groupe, ne feront que mieux se vendre à chaque fois, le point d’orgue étant les albums Pump et Get A Grip, vendu chacun 7 millions sur le territoire américain, Get A Grip restant aujourd’hui la meilleure vente mondiale d’un disque d’Aerosmith, avec 20 millions d’exemplaires. Puis le succès de la chanson I Don’t Want To Miss A Thing en 1998 amènera le groupe dans une direction plus commerciale, notamment avec l’album Just Push Play, où Aerosmith teste de nouvelles sonorités plus dans l’air du temps. Après un long cycle de tournée et un album de reprise (Honkin’ On Bobo, 2004), le groupe revient aux affaires avec le mitigé Music From Another Dimension!, et a annulé sa tournée estivale européenne pour raison financière (le cachet n’était pas assez gros), preuve de l’orientation très américaine du groupe.

aerosmith

– Je lèche mon doigt pour voir si c’est de la bonne !

– Oh non Steven tu vas pas retomber dedans…

– Mais je combats la crise, tu vas voir je vais te relancer l’économie de la Colombie tout seul !!!

Deep Purple (1968 – 1976 ; 1984 – aujourd’hui)

Ah le pourpre profond… Fondé en 1968, soit la même année que Led Zeppelin, le groupe anglais démarre très rapidement, notamment grâce aux expériences précédentes des membres. En effet, tous tournent déjà depuis quelques temps dans de nombreux groupes locaux. Le groupe sortira 3 albums entre 1968 et 1969, mais ne percera pas dans son pays d’origine, à cause d’un son certes hard rock, mais encore trop influencé par le rock psychédélique. Ils se feront par contre un nom aux États-Unis, grâce au single « Hush », reprise de Billy Joe Royal et écrite par Joe South (qui sont américains. Comme par hasard…). Après quelques soucis, le groupe change de chanteur et de bassiste, et perce enfin en Angleterre fin 1969 grâce au mythique « Concerto for Group and Orchestra », où le groupe joue au côté du Royal Philharmonic Orchestra. La vague du hard rock anglais peut déferler. Après avoir entendu du Led Zeppelin, le guitariste Richie Blackmore se débarrasse des influences psyché et oriente le son du groupe vers le hard rock, le vrai. En 3 ans et autant d’albums (Deep Purple In Rock, Fireball et Machine Head), le groupe crée à lui tout seul le hard rock, avec ses codes, son son, sa structure. Black Night, Speed King, Child In Time, Some Kind Of Woman, Fireball, Highway Star, Space Truckin’, autant d’hymnes devenus mythiques. Mais chaque groupe a sa chanson que tout le monde connaît. Pour Deep Purple, c’est bien sur Smoke On The Water, peut-être la plus grande chanson de hard rock jamais écrite, car tout est dedans : le riff de guitare saturée, le refrain facilement mémorisable et qu’on peut chanter à tue-tête, le solo simple, mais en même temps si efficace… Deep Purple a donné au monde la chanson qui est la définition même du hard rock. Après l’anthologique live Made In Japan, qui voit le groupe définir (encore !) ce qu’est un live de hard, voire de rock tout court, le groupe s’embourbe dans les conflits personnels. Après 2 changements de line-up, qui voient notamment la naissance du génial album Burn (1974), le groupe splitte en 1976. Les membres s’éparpillent en de nombreux groupes. Deep Purple a fait des émules. Carrières solo, production, nouveaux groupes, les ex-membres du Pourpre Profond se disséminent à droite à gauche, participant à la diffusion du hard rock et du heavy naissant dans toute l’Angleterre. Le line-up Mark II (1969-1973) se reforme pour le plus grand bonheur des fans en 1984. Il produira le remarqué « Perfect Strangers », puis « The House Of Blue Light », qui voit les tensions réapparaître. Après 2 autres changements de line-up (Joe Satriani fera une pige de 6 mois), le groupe se stabilise enfin en 1994 avec Ian Gillan au chant, Steve Morse à la guitare, Jon Lord aux claviers, Roger Glover à la basse et Ian Paice à la batterie. Jon Lord quitte le groupe en 2002 pour se concentrer sur l’écriture de musique classique, il est remplacé par Don Airey, le mec qui joue sur la moitié des albums de heavy sorti dans les années 80 (j’exagère à peine), ce qui laisse Ian Paice comme seul membre d’origine du groupe. Ce line-up continue encore aujourd’hui, le dix-neuvième album, Now What?!, venant tout juste de sortir. Après 45 ans de carrière, bon nombre d’albums studios et live (plus de 34 !), le groupe est sans aucun doute un des plus influents de toute l’histoire du rock. Chapeau bas messieurs !

deep purple

Deep Purple ne gagnait pas assez d’argent avec les droits de Smoke On The Water. Ils sont donc entrés au capital de Ray-Ban

Kiss (1973 – aujourd’hui)

Auto-proclamé « hottest band in the world », c’est dire que les membres de Kiss ont le melon. Enfin, surtout les 2 fondateurs, Gene Simmons (basse et chant) et Paul Stanley (guitare rythmique et chant), les autres membres ayant souvent et surtout le droit de fermer leurs gueules. Bon certes, ils ont sorti des tubes au succès planétaire et de grande qualité, genre Rock And Roll All Nite, Detroit Rock City, Love Gun (sur des albums de qualité en plus), mais ils ont aussi sorti des tubes au succès planétaire et bien pourris (et je reste poli), genre I Was Made For Lovin’ You. Laissez le disco à Abba et aux Bee Gees merde ! Bon ils ont fait amende honorable depuis, mais c’est le genre d’erreurs de parcours qui entachent une carrière. Un des autres aspects importants de Kiss, ce sont les concerts, où le terme « à l’américaine » est parfaitement adapté. Ce sont souvent des shows monumentaux, avec feux d’artifices, des plateformes qui descendent du toit de la scène pour l’entrée des musiciens sur scène, et bien sur les costumes si célèbres (même Coca en a fait une pub). Allez, si vous êtes sage, je vous ferai une review de leur concert au Hellfest (oui, j’aime vous narguer en me la pétant parce que je vais au Hellfest) !

kiss

– La lumière se reflète sur nos habits, je vois même plus les notes que je joue !

– On s’en fout maintient l’illusion !

Led Zeppelin (1969 – 1980)

20 millions. C’est le nombre de demandes engendrées par l’annonce du concert du 10 décembre 2007. Pour 16 000 places disponibles. C’est dire la réputation du groupe. Déjà, la brièveté de leur carrière y est pour beaucoup (un peu plus de 10 ans. D’ailleurs je vous mâche le boulot en faisant pour vous la soustraction 1980 – 1969. Je retiens 30, j’ajoute la racine carrée de l’hypoténuse… Putain moi et les maths). Des chansons mythiques, entrées au panthéon du rock, comme Dazed And Confused, Communication Breakdown, Whole Lotta Love, Heartbreaker, Immigrant Song (le générique de 50 minutes inside quand même. Ça doit être le seul truc bien de cette émission), Black Dog, Kashmir (n’écoutez pas la reprise de Puff Daddy, elle est à vomir. Littéralement. Le rock et le rap peuvent aller ensemble, mais dans ce cas là, juste non), Nobody’s Fault But Mine (« et regarde là, c’est Jimmy Page, le guitariste de Led Zeppelin, le plus grand pilleur de musique noire de tous les temps »), et peut-être la plus connue, Stairway To Heaven, magnifique ballade, avec l’utilisation de 7 guitares différentes pour l’enregistrement et son solo enregistré en une seule prise, et qui sert aujourd’hui de faire-valoir pour des dizaines de milliers de gens qui clament qu’ils écoutent du rock, alors que Stairway To Heaven est la seule chanson de rock de leur mp3. Ah oui, et Led Zeppelin c’est aussi le premier groupe « qui-fait-chier-les-groupes-pour-lesquels-il-ouvre-en-jouant-mieux-qu’eux », notamment en grattant sur leur horaire de passage en jouant Dazed And Confused pendant une demi-heure. Ces trolls en puissance. Ils sont aussi célèbres pour leur sens de la fête (des témoignages de groupies sont hallucinants et donnent envie de devenir rockstar), qui coûtera la vie au batteur John Bonham, après avoir ingurgité quelques 40 shots de vodka, ce qui entraînera la séparation du groupe. Les membres n’ont pas cessé de faire de la musique, et espérons qu’ils aient un jour envie de se reformer !

led zep

Heureusement qu’il n’y a pas le symbole de John Paul Jones (basse), sinon tout le monde aurait dit : « regardez c’est le signe de Charmed !!! »

Rush (1974 – aujourd’hui)

Avec Steppenwolf, Triumph, Annihilator, Voivod, The Guess Who, Bachman-Turner Overdrive, Anvil, Exciter, j’en passe et des meilleurs (hihi ça rime), le Canada nous prouve qu’il est un grand pays de hard et de metal (heureusement, sinon les pauvres canadiens auraient pour seuls représentants musicaux Céline Dion, Shania Twain et Avril Lavigne). Mais si on ne devait retenir qu’un nom, ce serait Rush. Déjà de par leurs ventes de disques : environ 40 millions dans le monde entier. Ensuite de par leur longévité : 45 ans !!! Fondés en 1968, ils ne sortent leur premier disque qu’en 1974. Débutant avec un hard rock très caractéristique, ils poursuivent ensuite avec un rock fortement teinté de progressif. Passant par une phase avec une forte présence de claviers dans les années 80, ils reviennent ensuite à leurs premières amours, le hard, mais qui est une synthèse de toute leur carrière et de tous les éléments musicaux accumulés. Acclamés par la critique pour leur constance, leurs ventes d’albums s’en ressentent : ils sont les troisièmes recordmen mondiaux pour le plus grand nombre d’albums consécutifs classés Or ou Platine, derrière les Beatles et les Rolling Stones ! Enfin, ils sont un exemple de soudure entre les membres d’un groupe : il est fondé par Alex Lifeson (guitare), Jeff Jones (basse) et John Rutsey (batterie) en août 1968. Geddy Lee deviendra le nouveau bassiste en septembre 1968 (un mois plus tard). Il occupe toujours ce poste aujourd’hui, en plus d’être claviériste ! Le légendaire Neil Peart, célèbre pour ses soli de batterie d’anthologie, rejoindra le groupe en juillet 1974. Depuis, la formule n’a jamais évolué, et c’est tant mieux !

rush

Rush n’est pas connu pour ses délires avec des groupies, pourtant notez ce maniement du double manche…

Scorpions (1972 – aujourd’hui)

Première chose à noter : Scorpions est un groupe allemand, et le bassiste est polonais. Les allemands ont vachement changé en 50 ans (« Monsieur, sachez que l’Allemagne est une démocratie […] tous les allemands ne sont pas nazis. » « Oui, je connais cette théorie »). Ensuite, le chant est en anglais, le but étant bien sûr de conquérir le marché mondial. Le groupe y est bien sûr arrivé (qui ne connaît pas Still Loving You de nos jours ! D’ailleurs vous avez certainement été conçus grâce à cette chanson), malgré des débuts difficiles. Le groupe n’éclot qu’après une période très influencée par le psyché, puis s’impose grâce à un hard/heavy des plus efficaces (Blackout, Lovedrive, Dynamite, The Zoo, que des tueries !). Ils passent ensuite par une période creuse dans les années 90 (en même temps à faire du rock-techno…), mais rebondissent au début des années 2000 par un retour aux sources. Ils ont ensuite emboîté le pas aux Stones en annonçant leur tournée d’adieu, puis en disant en plein milieu de la-dite tournée « en fait non, l’accueil de cette tournée est formidable, il nous reste de l’énergie et d’anciennes compos sous le coude, donc on continue ». Évidemment que l’accueil est formidable, les gens pensent que c’est votre dernière tournée, donc ils ont envie de vous voir !!! Sans déconner… Bon, Scorpions reste quand même un groupe à la carrière et à la longévité impressionnante (depuis 1965, même si le premier album n’est sorti qu’en 72), et a même participé à l’Histoire (celle avec un grand H, donc celle que vous étudiez à l’école. D’ailleurs si les profs pouvaient nous passer du Scorpions, les cours seraient plus intéressants), puisque Mikhail Gorbachev était un grand fan, et a leur a permis de jouer une série de 10 concerts à guichets fermés au Lenin Stadium de Moscou en 1988, contribuant ainsi à l’ouverture de l’URSS à l’occident. Scorpions reviendra en 1989 avec Cindirella, Skid Row, Mötley Crüe, Ozzy Osbourne, Bon Jovi et Jason Bonham (le fils de John Bonham et batteur de Led Zeppelin lors de la reformation évoquée plus haut et de Black Country Communion, entre autres) pour le Moscou Music Peace Festival, donc du très très beau monde. Voilà bien la preuve que le rock aide à la paix !

scorpions

Plus fort que le cirque du Soleil !

The Answer (2002-aujourd’hui)

Le revival 70’s. Vous n’avez pas pu passer à côté ces dernières années. Et il a pris une telle ampleur que je ne pouvais pas faire l’impasse sur un de ses représentants. Problème : trouver un groupe qui avait tout (ou presque) d’un grand. The White Stripes, Airbourne, Wolfmother, The Sword, Orchid… J’en oublie plein en plus. Certains sont maintenant dissous, d’autres ont subi des séparations avant de se reformer, et d’autres ressemblent bien trop à certains groupes (sans remettre en cause leurs qualités). En fait il y a bien un groupe qui émerge du lot : The Answer. Déjà ils sont irlandais et pas bourrés, ce qui est à souligner. Leur discographie est conséquente et de qualité, ils possèdent un son bien à eux, les performances live sont paraît-il géniales (je ne les ai malheureusement jamais vu. Les lives sont quant à eux très bons)… Ils sont précurseurs du mouvement revival, et arrivent plus que bien à se maintenir à flot. Espérons qu’ils perdureront, car ils représentent la nouvelle génération du hard rock, et permettront à ce genre d’exister encore dans 10, 20, 30 ans !!!

the answer

Je veux un appartement comme celui-là !!! Par contre ça doit être galère à chauffer l’hiver…

Thin Lizzy (1971-1984, 1996-2001, 2004-aujourd’hui)

Soyons honnêtes entre nous. Je ne connais pas bien, mais alors pas bien du tout Thin Lizzy. Bien sûr, je connais quand même 2-3 chansons (Jailbreak, The Boys Are Back In Town, Whiskey In The Jar), et 2 de leurs membres, Phil Lynott, bassiste et chanteur du combo, et Gary Moore (il n’est pas resté très longtemps). Mais pourquoi les inclure dans ce top alors? Parce que j’en entend tellement parler autour de moi, sur les sites spécialisés en chroniques d’album notamment, et que les critiques sont souvent tellement élogieuses, que je ne pouvais pas ne pas en parler. Leur album Jailbreak est souvent considéré comme un des meilleurs albums de hard, et a influencé de nombreux artistes, comme James Hetfield de Metallica. Le groupe continuera, malgré la mort de Phil Lynott en 1986, jusqu’à l’année dernière, mutant en Black Stone Riders. Le premier album sous ce nom est attendu cette année, on espère qu’il sera de qualité comme ses glorieux ancêtres !

thin Lizzy

La classe, tout simplement.

« Insérez le nom de votre choix »

Solution de facilité? Oui. C’est pour ça que j’ai pas mis de 10ème groupe. Mais aussi pour laisser une fin ouverte, et vous laisser placer le groupe de votre choix à cette place. Parce que dans mon infinie bonté, je me suis dis que ce serait réducteur de dire : « voilà, y a 10 groupes, point final ». Et puis j’ai pas non plus réussi à choisir entre d’autres noms prestigieux, tels Blue Öyster Cult, Uriah Heep, UFO, etc, dont en plus je ne connais pas bien les discographies. Et en plus leur renommée internationale n’est pas aussi grande que tous les groupes cités plus haut (The Answer mis à part, ce qui est dû à leur jeunesse). J’attends donc avec impatience vos noms de groupes et des remarques sur ce top dans les commentaires !

Et comme dirait Ronnie James Dio : « Long live rock n’ roll !!! »

Vous avez aimé ? Pourquoi ne pas partager ?