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Gurlz wanna have fun – L’Antre du Greil

Et c’est reparti. Comme chaque année, la redoutable deuxième semaine de Février débarque et nous offre sont lot de publicités débiles, de vitrines aux coloris niaises, de statuts Facebook à vomir, de célibataires aigris et de couples insupportables. Qu’on soit de ceux qui adorent cette fête (je me demande s’il en existe encore vraiment) ou de ceux qui avancent l’argument commercial pour pas reconnaître qu’ils n’ont personne avec qui partager le jour des amoureux (nan parce qu’Halloween c’est une fête commerciale mais ça vous empêche pas de vous piquer la ruche déguisé en zombie ou vampire hein ? HEIN ?!), on y échappe pas : le 14 février, c’est la SaintValentin. Autre phénomène propre à ce genre de fête, les dossiers spéciaux fleurissent sur internet : du célèbre « Les amoureux au cinéma » au fameux « La SaintValentin chez les gastéropodes en mer du sud », chacun trouve le moyen de la ramener et de sortir son article événement. Alors nous, à l’Antre du Greil, on s’est dit que si ça continue à nous tomber sur le rable chaque année, c’est que ça doit marcher. Et si ça marche, on prend, parce qu’on est des gros mendiants de visiteurs et de clics. Voilà. Donc on va faire des dossiers et des articles arrosés de Saint Valentin, chacun dans notre spécialité. A la demande de mon bien aimé boss, j’ai donc passé en revue tout les dossiers possibles et c’est « Les Filles dans le Jeu Vidéo » qui a été retenu. Parce que bon, soyons honnêtes, on est une majorité de gros geek solitaires qui passeront le 14 février au soir avec Jill et on aime ça, nous, les belles gonzesses contrôlées par joystick. Je vous propose un petit tour non exhaustif des nanas qui auront marqué le jeu vidéo de leur empreinte mammaire, le tout dans un esprit bon enfant, sans aucune arrière pensée, dans un vocabulaire soutenu et sans machisme aucun. Et avec le sourire. Parce que c’est la Saint Valentin. Et on est contents. Tous. Très. Contents.

Greil, ce matin, en arrivant au bureau… L’idée a fait son chemin, l’Antre va bientôt s’agrandir, on bosse à quatre sur le business Saint Valentin !

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Et parce que j’ai décidé de vous sortir un article vraiment original, on va commencer par une grosse surprise en présentant la première chica retenue. Attention, roulements de tambour, on va parler de… Lara Croft. Quand vous aurez réussi à remonter sur votre chaise après cette renversante révélation, vous vous rendrez vite compte que c’est totalement logique. Lara Croft, c’est d’abord deux records : l’héroïne la plus doublée (ça va d’Angelina Jolie dans les deux films éponymes à diverses mannequins lors d’évènements promotionnels) et l’héroïne humaine de jeux vidéo ayant le plus réussi. La classe. Son étoile au Walk of Game de San Francisco aux côtés de Mario, Link ou Sonic montre à quel point Lara est un pilier majeur du monde vidéoludique. Surtout, pour beaucoup, elle est la première héroïne marquante du jeu vidéo, à la base d’un succès commercial indéniable : 10 jeux depuis 1996 et une chiée de produits dérivés. Si la plastique avantageuse de l’héroïne joue beaucoup, son personnage étoffé au fil des opus et les chasses aux trésor mouvementées auxquelles elle s’adonne sont tant d’autres raisons d’apprécier le personnage (et sa licence). Et en bonne porte étendard de genre féminin dans le jeu vidéo, Laratombraiderunderworld n’oublie pas de provoquer des réactions. Beaucoup d’empêcheurs de tourner en rond ne vont pas rater l’occasion de montrer une nouvelle fois du doigt une industrie décriée de toute part : si cette fois ce ne sont pas les armes, on reproche aux jeux vidéo de promouvoir le sexisme, l’avilissement de la femme et de la réduire à une icône sexuelle. Si le créateur de Lara Croft ne se cache pas en admettant que son personnage est basé sur des clichés et est typique de la « femme idéalisée », il faut bien admettre qu’une jeune femme parcourant le monde à la recherche de trésors, gravissant les obstacles posés sur sa route, matant bêtes sauvages et autochtones trop zélés, tout ça toute seule, comme une grande, ça fait vachement « femme avilie » le machin. Mais bon, le débat n’est pas là. Pour la majorité des joueurs, Lara Croft est un personnage attachant, aux aventures uniques et la série Tomb Raider est synonyme de qualité (enfin, les derniers opus étaient un peu en dessous, mais le prochain s’annonce énorme). Alors oui, en plus, elle est agréable à regarder. Bon. Mais je vous jure, y a pas que ça qui fait son succès !

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En haut à gauche, Lara Croft en 1996, puis à droite en 2008. Lara nous reviens début mars 2013 pour un reboot de la série. Ca va chier des bulles !

Samus_aranHunterAutre héroïne majeure, une des rares à avoir sa licence dédiée, Samus Aran est moins médiatisée mais tout aussi populaire parmi les gamers. Voyant le jour sur NES en 1986, elle est l’héroïne de la série Metroid, dont le dernier opus est sorti en 2010 sur Wii. Tout au long de ses aventures spatiales, Samus va devoir affronter MotherBrain et ses Pirates de l’Espace qui font peser sur l’univers la menace des Metroids, des parasites qui se révèleront être une source d’énergie utilisable pour renforcer votre Combinaison de Puissance (quand vous n’êtes pas occupé à les bousiller à grand coup de canon plasma, pour le principe…). Car c’est là ce qui fait la célébrité de l’héroïne, son armure orange et rouge (à la base) équipée d’une arme multi-fonctions englobant tout son bras droit, au style rappelant furieusement un certain MasterChief. D’abord TPS (Third Person Shooter) en 2D, Metroid entrainait le joueur dans un monde aussi riche en couleurs que dangereux. Au début des années 2000, Metroid passe en FPS (First Person Shooter) 3D avec Metroid Prime, qui marque la vraie renaissance de la SamusAran2013série, révélant pour la première fois une Samus plus vraie que nature. Pourtant, Samus est aux antipodes de l’idée que l’on pourrait se faire de l’héroïne type : son armure ne met pas ses formes en valeur, ses seuls yeux rappellent aux joueurs que sous la carapace se trouve une jeune femme (on jouera d’ailleurs dans le premier opus en pensant que c’est un robot avant qu’un niveau ne permette de jouer Samus en petite tenue, pistolet à la main, pour s’échapper d’un vaisseau ennemi. Sans cette partie, le joueur croit que Samus est un robot et ne sait pas qu’elle est… une humaine !). Ce n’est qu’en 2010 avec Metroid : Other M et un nouveau départ de la série (nouveau studio, mélange TPS/FPS) que Samus apparaît au cours de cinématiques de qualité, séduisante sans son armure, dans une combinaison moulante, lui donnant un caractère plus humain. Surtout, elle va parler pour la première fois depuis sa création, invitant le joueur, à travers diverses phases de narration, à découvrir la psychologie du personnage  jusque là dissimulé sous sa grosse armure. Vous l’aurez compris, Samus n’est pas, à l’origine, destinée a séduire le joueur (malgré le niveau en sous-vêtements, osé pour l’époque). Pourtant, elle s’est imposée comme un pilier de l’univers de Nintendo et un personnage aimée des joueurs qui voient en elle, sinon une copine idéale, une héroïne à part entière. La petit thème musical accompagnant son arrivée dans un niveau restera d’ailleurs gravé à jamais dans l’oreille du gamer averti (petite larme à l’oeil…). Bref, Samus Aran est la réponse parfaite à ceux qui vous diront que la femme est vouée aux second rôles à protéger dans le jeu vidéo.

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 La garde-robe de Samus Aran est quand même pas variée…

Parlons-en de ces seconds rôles. Les deux exemples les plus flagrants qui viennent à l’esprit quand on parle de nanas à sauver ou protéger, ce sont bien-sûr la Princesse Peach et la Princesse Zelda. Ces deux princesses sont les championnes pour se mettre dans des situations pas possibles, nécessitant l’intervention des valeureux héros que sont Mario et Link. Pourtant, les deux princesses peachPrincess_Zelda_(Spirit_Tracks)les plus célèbres de Nintendo sont radicalement différentes. Si Peach répond fidèlement aux clichés, hurlant à l’aide quand on s’en prend à elle, attendant que son vaillant plombier la délivre des griffes de DonkeyKong ou Bowser, Zelda présente, elle, un caractère affirmé, des capacités à l’épée et à l’arc ainsi que des compétences en magie blanche (le genre de trucs qui vont mettre des bâtons dans les roues de Ganondorf, sans pour autant l’arrêter). De son côté, ce n’est que dans Super Princess Peach (et à moindre niveau dans la série des Smash Bros) que la copine de Mario va montrer ses compétences, basées sur ses émotions. Alors certes, elle peu faire péter de la belle magie, mais quand on sait que ses capacités dépendent de ses états d’âme, ça fait quand même bien cliché (chialeuse…). Les deux princesses sont généralement présentées en robe, mais Zelda pourra se déguiser pour échapper à ses ennemis (retardant l’inévitable capture), voir même se transformer en alter-égo masculin, alors que Peach fera chavirer plus d’un cœur dans la série Mario Sports avec sa tenue de sportive de haut-niveau. Enfin, leur lien avec le héros est bien entendu primordial dans les séries : si Mario et Peach vivent leur amour au grand jour, Zelda et Link sèment le trouble, leur rapport n’étant jamais clairement établi. Elles incarnent ainsi, malgré leurs différences, un rôle bien particulier et très présent dans le jeu vidéo à ses débuts : la femme-trophée, objectif final et récompense du héros après qu’il ai vaincu tout les obstacles, schéma très utilisé par des créateurs à l’imagination bridée par les moyens limités de l’époque. Toutefois, Zelda et Peach représentent deux visions bien différente du rôle féminin-trophée dans le jeu vidéo : Peach est plus proche de la Barbie là où Zelda se permet d’être une icône un peu plus moderne (pourtant, étant apparues en 1985 et 1986, elles n’ont qu’un an d’écart… et approchent quand même de la trentaine !)

the_history_of_princess_zelda_by_webstersdopegirl-d425grq La Princesse Zelda s’adapte, au fil des opus, à la charte graphique choisie pour chaque titre. Chapeau l’artiste.

Si la femme incarne souvent le second rôle en détresse, elle peut aussi apparaître sous la forme de la guerrière redoutable, se battant à armes égales dans un monde d’hommes. Deux genres vont notamment donner leurs chances aux personnages féminins : Jade-Kitana-Mileena-Sindel-and-Sonya-the-ladies-of-mortal-kombat-19655919-1244-671les jeux de combat et les RPG. C’est un 1991 que Street Fighter II sort sur arcade, proposant 8 personnages avec qui combattre dont Chun-Li, premier personnage féminin de la série (et précurseur dans le genre). Derrière, les monstres sacrés du genre n’oublieront pas le sexe féminin : Soul Edge, Mortal Kombat, Tekken, Virtua Fighter, Samuraï Showdown et d’autres sortiront tous avec leurs avatars féminins, venant tenir la dragée haute aux bonhommes experts en arts martiaux ou maniement d’armes létales. Qui n’aura jamais ragé comme un forcené face au coups de talon de Nina dans Tekken ? D’autant que les développeurs n’oublient pas d’armer les petites, qui sont capables de vous briser les noix de manière nette et sans bavure, le tout avec amour, gloire et beauté. Finalement, le constat est simple, dans un genre des plus violents de l’univers vidéoludique, les personnages féminins se sont très vite fait une place importante, apportant, en plus de leur plastique toujours avantageuse, un variante intéressante au gameplay :wow elle seront souvent plus agile et rapides que leurs adversaires masculins, au détriment de leur force et capacité à encaisser les coups. Bon, certes, la gymnaste face au tank, ça fait très cliché « Un gars, Une fille » sur les bords… Autre genre bien spécifique, le  RPG a longtemps été le domaine de prédilection des geeks les plus hardcores, fans de JdR en tout genre. Or, ces JdR attirent beaucoup de geekettes, qui y retrouvent souvent un univers fantasy très présent en littérature. Du coup, les RPG sur console sont un moyen parfait pour les éditeurs de mettre une manette entre les mains des filles, qui ne seraient pas forcément intéressées par un jeu de combat, un jeu de sport ou un wargame. Ainsi, les RPG vont peu à peu proposer l’option de choix du sexe dans leurs outils de création de personnages. Aujourd’hui, de The Elder Scrolls à World of Warcraft en passant par Star Wars : The Old Republic, Fable ou League of Legends, le choix est donné au joueur de choisir un avatar féminin qu’il pourra modéliser à son goût. Quoi de mieux que de laisser au joueur le choix de son cliché pour son héroïne ! Méfiance, toutefois, celles-ci ont elles aussi le mérite de se hisser au rang des combattants masculins et de rendre honneur au sexe « faible », qui pourra réserver quelques surprises à certains geeks un brin myso sur les bords…

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Certains mods permettent d’ajouter de jolies créatures à Skyrim… De quoi rendre légitime l’investissement sur un PC de compétition !

On a parlé de la princesse en détresse, des combattantes, des héroïnes… Un personnage en particulier se paye le luxe de regrouper toutes ses caractéristiques, volant la vedette au héros de l’aventure sur la jaquette du jeu et étant, de toute évidence, l’un des avatars vedette de la série. Pourtant, on y pense moins quand on parle de filles dans nos jeux, mais elle est à mon sens l’un des meilleurs personnages féminins de l’histoire. Ainsi, en scène d’intro de Final Fantasy VII, le joueur admire le visage angélique d’une jeune fille dont la modélisation 3D flattera les pupilles de l’époque. Plus tard dans le jeu, on découvre Aerith, la jeune fille aux fleurs, demandant l’aide de Cloud pour rentrer chez elle alors qu’elle est traquée par les Turks de la Shinra. S’attachant très vite à Cloud et le rejoignant dans son combat contre la Shinra, elle va finalement connaître un destin tragique, tuée dans une Aerith_Gainsborough_from_Final_Fantasycinématique inoubliable par le grand méchant de l’opus, Séphiroth. Son lien avec les Cetras est pourtant une des clés de l’histoire de Cloud et ses compagnons, si bien que son souvenir suivra le joueur jusqu’au bout de l’aventure. Outre son rôle, le personnage d’Aerith est un exemple de construction (au même titre, cela dit, de la plupart des personnages de FFVII, qui ont tous des histoires et personnalités complexes). Alors que tout les personnages sont liés par un combat épique pour sauver la planète, Aerith est une bouffée d’air frais, semblant détachée de la gravité de la situation. Très vite, un triangle amoureux va se mettre en place en marge de l’aventure puisqu’Aerith et Tifa (une autre aventurière qui aurait elle aussi droit à son paragraphe dans cet article) vont plus ou moins se disputer Cloud. Si le joueur peu choisir le personnage avec lequel il aura un rendez-vous galant, le jeu ne livrera jamais le fin mot de l’histoire sur cette relation, créant l’un des débats les plus virulents de l’histoire parmi les gamers : Cloud il aurait pécho qui, Aerith ou Tifa ?! Et Aerith et Cloud, y z’étaient bien amoureux quand même ?! Et Tifa, son amour d’enfance, il allait la reprendre ?! Attends, elle sort pas avec Barret… ? Si cette interrogation hantera à jamais toute une génération de geeks, l’émotion ressentie dans la scène finale d’Aerith aura marqué tout joueur ayant touché au titre. Sans parlé du mini cliffhanger que cela provoque à la fin du Disk1, la mort d’Aerith choque d’abord car il s’agit d’un personnage central de l’équipe, mais aussi car elle est très soudaine, froide et implacable. Elle restera d’autant plus dans les mémoires qu’elle donne lieu à deux cinématiques emplies de poésie, magistralement maîtrisées sur le plan technique et artistiques, servies par le thème d’Aerith au piano qui tirerait les larmes à Kratos lui-même. Pour beaucoup de joueurs, ce n’est ni plus ni moins que la magicienne en titre de l’équipe qui part, excellente dans la protection et la régénération des copains lors des combats un peu trop mouvementés. Jolie, douce, fragile, puissante magicienne, dernière représentante d’une race de surdoués… Que demander de plus ! Je pourrais en parler pendant des heures mais voilà : Aerith est peut-être LE second rôle féminin qui restera dans toutes les têtes et les coeurs des joueurs. En attendant un hypothétique remake HD de ce monstre de FFVII, rien n’empêchera les nostalgique de dépoussiérer la PS1

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Aerith fait de brèves apparitions dans Final Fantasy Advent Children, la suite cinématographique de Final Fantasy VII. Y a des slips kangourous qui sont partis au linge sale pour moins que ça…

S’il les héroïnes majeures dans le jeu vidéo ne courent pas les rues, les rares filles mises en avant ont quand même de vrais arguments à faire valoir (et NON, ce n’est pas une phrase pleine de sous-entendus salaces… non juré… BON PEUT-ÊTRE UN PEU !). On sent toutefois que les temps changent et que la féminité dans le jeu vidéo tend à se répandre, tout en restant très tabou : le dernier scandale en date soulevé par le trailer Tomb Raider (scandale tout à fait justifié si l’idée des développeurs était effectivement de faire « jouer » un viol) a fait ressurgir les critiques hâtives des uns et des autres sur le traitement des femmes sur nos écrans. Alors oui, elles ne sont pas bien nombreuses, non, elles n’ont pas le physique de Germaine, 50 ans, femme de ménage à Trouducu-en-Vallée, mais c’est déjà pas mal. Et finalement, ne transmettent-elles pas des valeurs plus saines que Nicki Minaj ou autre « exemple » dans le genre (Bon, j’exclus quand même les filles de Tekken, Mortal Kombat et tout, ça ruine un peu la démonstration là…) ? Nan parce que si on fait le ratio « grosse morue dégueulasse pas capable de compter jusqu’à 2/gonzesses » à la télé en général et dans les jeux vidéo particulièrement, je suis sûr qu’on s’en sort bien hein, du côté des geeks ! Une chose est sûre, les filles ont encore de beaux jours devant elles dans nos consoles et PC, elles qui ont déjà montré qu’elle étaient capable de se hisser au niveau et même aussi des personnages masculins.

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